Douce Inconnue Vous que ce dieu malicieux a posé sur mon rivage
Je vous croise quelques fois,Je vous dis des mots facétieux,
qui en cachent d’autres plus gracieux.
Je me repasse ce moment incandescent de penser a vous !
Je suis perdu Une vie trop bien rangée,Avec des rêveries à l’étroit
J’apprivoise chaque soir l’envie de vous apercevoir Demain,
si je me rapproche, Sera pour Vous dire combien vous êtes merveilleuse,
Ou simplement un « Bonjour », comme le nom d’une fée,
d’une friandise délicieuse ! Je pense à vous, Et tout va mieux,
Sans bouleverser la vie,
sans châtiments et peines au monde qui vous côtoie
et nous entoure dans un dévouement sans faille
Comme un secret, dans un jardin.
Pour l’amour, contre l’ennui et la solitude Ce que je sais de vous,
je le sais de toujours.
Comme la nuit sait le secret du jour !
Ce que je sens pour vous,c'est un chemin frondeur,
ou s'accélèrent les battements du cœur,entre désires et leurres.
Que vous dire de cet inconnu qui s’ouvre à votre résistance !
Entre nous ces mots devraient en abolir la distance…
D’où vient quant tout en moi, semble vous faire violence,
où vous incite à la prudence,
alors que tout en vous m’incline à la douceur.
Vous laisserais-je apprivoiser la peur ?
Je vous envoie ces mots,comme une bouteille à la mer, sans bouchon.
Sans secours ! De vous écrire, cela me va bien,
vous me faites sourire et tout va bien.
Mais d’ici c’est facile, vous ne me voyez pas rougir.
Assis au coin du silence je ne m’ennui plus quant j’y pense.
Me donnerez-vous le vertige des profondeurs ?
L’ivresse des pensées comme quand on se noie
Envie de Lune et les ailes trop fragiles,
Peur de se rapprocher du Soleil… Être seul au monde,
Ne plus croire aux Fées, … Mais j ai pour vous tant de tendresse
Je n ai que des pensées sucrées
M’en voulez-vous ? Me voilà dans votre main,
L’effleurer sans la garder,
Face au vent vous contempler vous en aller.
Fermer les yeux et vous regarder encore
L’imminence redoutée d’une chute obligatoire,
De n’avoir pas trouver les mots.
Repasser dans le désert, Redevenir solitaire,
comme un oiseau vu d en bas.
Assis au coin du silence
Fermer les yeux pour vous apercevoir
J’ai peur d’oublier ces moments de bien-être.
Fermer les yeux et t imaginer.
par FP, vendredi 1 février 2013, 16:02 ·
Commentaires (1)
1. André 16/02/2013
Bonjour Cathe,
c'est beau très beau.......... bises