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Fort de L'Eau

 

 
Fort de l'eau

 


       Un nom que peu de gens connaissent, d'autant plus que depuis trente ans, il a cédé la place à Bord el Kiffan... C'est là, pourtant, qu'aboutit le principal câble sous marin reliant la France à l'Algérie.

        En 1962, à la veille de l'indépendance de ce territoire qui fut français pendant cent trente deux ans, près de quatorze mille personnes vivaient à Fort de l'Eau, dont environ sept mille Européens. Dans leur quasi totalité, ceux-ci ont dû tout quitter    pour être "rapatriés" en France métropolitaine.

        C'est à ces Aquafortains qu'est dédié cet article : à tous ceux, hommes, femmes et enfants qui disaient, en parlant de Fort de l'Eau, "mon village", qu'ils soient du Lido ou de Verte Rive, de la Station ou du Retour de la Chasse, ou du "centre ville".

 

 

Un peu de géographie humaine


-------Fort de l'Eau était situé sur la baie d'Alger, à 17 kilomètres à l'est/sud-est de la capitale, entre l'embouchure de l'oued Harrach et le cap Matifou.

-------La commune, après diverses modifications, couvrait 25 km2, soit un peu moins du quart de Paris intra muros. Sa densité, au début des années 1960, était donc d'environ 560 habitants/km2.

-------Elle comportait, dans sa partie nord, une façade de plusieurs kilomètres en bordure de la mer Méditerranée. A peu près au milieu de cette zone littorale se trouvait un vieux fort turc : situé sur un terre-plein qui dominait d'une quinzaine de mètres, vers l'ouest, la plage de la Sirène, délimité par un fossé d'enceinte, il jouxtait un puits avec abreuvoir. On comprend ainsi le nom donné à la commune.

-------Du fort, si l'on regardait vers l'intérieur des terres, on avait pu, pendant des décennies, constater qu'il y avait tout autour quelques dizaines d'hectares ensemencés puis, jusqu'à l'horizon, des broussailles, des lentisques et quelques oliviers sauvages. Mais à l'époque où j'ai vécu à Fort de l'Eau (entre 1948 et 1962), l'urbanisation avait bouleversé les paysages naturels. Le village moderne, aux grandes rues bien tracées et orthogonales, présentait des caractères communs aux autres centres de colonisation algériens. La Station balnéaire, au-delà du Casino, était séparée du rivage par un boulevard front de mer que l'on se plaisait à arpenter le dimanche après-midi.

-------Plus loin, on arrivait au Lido, où se trouvait un camp militaire. Quelques centaines de mètres à l'intérieur des terres, on trouvait le Stade Municipal qui retentissait aux exploits de l'USFE, l'équipe de football de l'Union Sportive de Fort de l'Eau, au maillot rouge et vert.

-------Quand on quittait le village vers le nord-est, on rejoignait le quartier de la Verte Rive, près duquel se trouvait le cimetière. Celui-ci,  a hélas été, à plusieurs reprises, profané depuis l'indépendance, et ce n'est pas sans émotion que nous avons pu voir des photos de ces intolérables saccages dans certaines revues.

-------Fort de l'Eau connaissait un climat méditerranéen, doux et agréable. La température moyenne annuelle était du 17°5, celle du mois le plus chaud (août) 25°, et celle du mois le plus froid janvier) 1 1 °.

-------Mais je me souviens personnellement de certaines journées torrides, en été, au cours desquelles le thermomètre dépassait 40°. Le sirocco, vent très chaud et sec venu du désert, soufflait parfois, rarement plus de quelques heures, exceptionnellement un jour entier. II faisait si bon, alors, s'étaler de tout son long sur le carrelage, en short et chemisette, les volets presque clos : et l'on se laissait aller à une douce torpeur.
Par contre, aussi loin que je puisse fouiller dans ma mémoire, je ne me rappelle pas avoir vu de la neige à Fort de l'Eau, si ce n'est quelques minuscules flocons aussitôt volatilisés dès qu'ils touchaient terre : ce devait être au cours de l'hiver 1956. Mais de plus anciens que moi ont peut-être gardé le souvenir d'un blanc manteau couvrant nos rues et nos toits en terrasses...

-------Les précipitations s'élevaient à 650 mm/an en moyenne, avec une assez grande irrégularité interannuelle. En été, le ciel restait souvent bleu pendant plusieurs semaines d'affilée : pas un seul nuage pour empêcher le soleil de briller. Les stations météorologiques de Maison Carrée et du Cap Malifou relevaient rarement plus de I à 5 mm au cours des mois de juillet et d'août. Décembre était le mois le plus arrosé, avec un peu plus de 100 mm, répartis sur une douzaine de jours. En règle générale, le nombre de jours de pluie n'excédait pas quatre-ving-dix : autrement dit, il faisait à Fort de l'Eau un temps superbe, doux et ensoleillé, pendant les trois quarts de l'année.

-------Les orages violents n'étaient pas rares, surtout en Mai et en Septembre. Ils étaient parfois accompagnés de chutes de grêle, essentiellement le matin, mais celles-ci survenaient aussi en hiver, de décembre à février.

-------Les petites collines qui délimitaient Fort de l'Eau vers le sud ne constituaient pas un écran montagneux suffisant pour empêcher notre commune d'être très ventilée. Soufflant assez régulièrement, le vent avait incité à la construction d'éoliennes,
mais nécessitait aussi des brisevents découpant les champs cultivables en petites cases protégées. Soufflant le plus souvent du sud-ouest le matin, il tournait au nord en milieu de journée pour s'atténuer ensuite et revenir au sud le lendemain matin : phénomène bien connu de la brise de terre et de la brise de mer, selon que la Méditerranée -jouant le rôle d'une "volant thermique" - apparaissait plus chaude ou plus froide que le continent africain.

-------II n'est pas question ici de mener une élude géologique et pédologique détaillée. Il suffit de rappeler que la plaine côtière, d'Hussein Dey à la Réghaïa, est une plage quaternaire récemment exondée. Des grès durs de dunes anciennes dessinaient une mince ride séparant les sables de la côte des limons argileux de la Mitidja : désagrégés en sable par l'érosion, ils donnaient à Fort de l'Eau des sols chauds, légers, renfermant d'abondantes nappes aquifères, donc très propices à la culture des primeurs.

-------Contrairement à d'autres communes du littoral algérois, Fort de l'Eau se présentait comme une entité économique particulière malgré l'urbanisation, et parallèlement à celle-ci, la vie rurale n'avait pas perdu tous ses droits. Et nombreuses étaient encore. dans les derniers temps de l'Algérie française, les fermes et les exploitations maraîchères qui vivaient en symbiose avec les citadins du village.

-------Fort de l'Eau n'a été érigée, sous ce nom, en commune de plein exercice, que le 2 juin 1881. En fait, sa création remonte trente ans en arrière, lorsque fut créée, le 22 Août 1851, la Commune de la Rassauta, qui débordait alors sur les localités voisines de Maison Carrée (= Harrach) et de Maison Blanche (=Dar el Beïda).

-------La population, qui n'était que de "cinquante feux" ? soit environ deux cents habitants en 1852 augmenta rapidement sous le Second Empire pour atteindre I 800 habitants en 1884, dont 963 Européens. Ceux-ci restèrent plus nombreux que les Musulmans jusqu'en 1931, date à laquelle la population atteignait 4 765 habitants. Au cours des douze années suivantes, malgré la crise économique et la guerre, on assista à un véritable boom démographique : les Européens passèrent de 2 518 à 4 197 habitants (augmentation des deux tiers), et les Musulmans de 2 247 à 6 529 (quasi triplement), soit, au total, 10 726 habitants en 1944. La progression se poursuivit après la guerre, les Musulmans dépassant le cap des 8 000 personnes et les Européens celui des 5 000. Mais les deux communautés vivaient séparées.
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La plupart des Musulmans vivaient sur le territoire de la commune de Fort de l'Eau généralement dans des gourbis et autres habitations précaires situées sur le versant méridional de la colline qui séparait le "village" européen de l'arrière-pays.
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I1 s'agissait souvent d'indigènes installés dans la région depuis plusieurs générations, voir plusieurs siècles : l'absence d'état civil à ces époques lointaines ne permet pas d'être plus précis.
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Mais Fort de l'Eau connut aussi une assez forte immigration arabe en certaines périodes (entre 1940 et 1949 par exemple). Des Kabyles vinrent également s'établir, ainsi que des Mosabites qui, généralement, s'installaient comme commerçants dans le village où nous les désignions sous le nom de "Moutchous".
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Quant à la population européenne, à côté de Français d'origine métropolitaine et de quelques familles juives, la plupart de ses ressortissants étaient originaires des îles Baléares : tant de Majorque et d'Ibiza que de Minorque, ce qui ne les empêchait pas d'être souvent regroupés sous l'appellation "Mahonnais".
-------Fort de l'Eau fut même qualifié, dans un article paru vers le milieu des années 1959, de "principauté mahonnaise aux portes d'Alger".

Tout débute avec un Fort
-------Le Fort de l'eau, qui contrôlait la baie d'Alger, contre toute attaque, avait été conçu en 1556 par le pacha turc Mohammed Kurdogli, et fut terminé en 1581 par un autre fonctionnaire Djfar Pacha.

-------Dès 1832-33, le fort fut occupé par un détachement de cinquante légionnaires, appartenant au bataillon de Maison Carrée, afin d'assurer la défense de faucheurs et le transport de fourrage par voie de mer de la plage de Fort de l'Eau à destination d'Alger.

-------En 1835, un territoire de plus de 3 000 hectares, connu sous la dénomination de La Rassauta fut attribué au prince de Sviatopolk Rast de Mir Mirsky, issu d'une vieille famille noble de Lituanie, qui avait été chassé de son pays par la révolution polonaise. Obligé d'emprunter plus de 130 000 francs aux maisons Sachet et fils d'Alger et de Toulon, le prince de Mir dut rétrocéder sa concession dès 1843. Plusieurs créanciers se présentèrent alors. C'est un comte espagnol, Manuel de Azzonis Antes Melgazzo del Valle San Juan, qui put, à son tour, acquérir le domaine. Pourtant, dès le 19 septembre 1846, l'Administration fut amenée à reprendre possession de la "ferme de la Rassauta", après avoir partiellement indemnisé les créanciers.

-------Parallèlement à ces essais infructueux de colonisation par grandes concessions privées, l'Etat affecta en pleine propriété-à l'initiative du général Bugeaud (dont la casquette fit, en partie, la célébrité) -des terres plus ou moins marécageuses à une tribu indigène, les Aribs. Ceux-ci s'étaient révélés de fidèles et précieux auxiliaires pour les troupes françaises. Mais le caractère nomade des tribus empêcha la réalisation d'un centre indigène.

-------Dès les premières années qui suivirent l'expédition française de juillet 1830, de nombreux Espagnols s'expatrièrent vers l'Algérie : ils constituèrent rapidement entre le quart et le tiers de la population européenne installée dans les régions d'Alger et d'Oran.

 
   

 

 

- Station balnéaire

Ernest Mallebay, le directeur des Annales africaines, émet l'idée qu'on pourrait faire de Fort de l'Eau une station balnéaire réputée

La Municipalité, intéressée, comprenant les profits que la commune pourrait tirer d'une pareille entreprise, offre gratuitement les terrains à bâtir.

Après quelques difficultés d'ordre administratif, le premier coup de pioche est donné en 1895. Des ouvrages de terrassement sont effectués, des rues larges, spacieuses et un boulevard de front-de-mer sont tracès. A la fin de 1898, on peut compter plus de quarante-cinq villas, un casino et un hôtel somptueux. Il est difficile d'aller plus vite.

La Commission instituée par le Ministère de l'Intérieur pour l'examen des demandes de classement des stations balnéaires se réunit le 13 novembre 1908 et classe Fort de l'Eau station estivale!

Le coquet village acquit un regain d’activité d’activité, crééant de nouvelles plages dans son prolongement maritime, celles du Lido, de Verte-Rive et des Dunes, rapidement bordées de belles villas.

Ces plages très fréquentées des Algérois et des habitants des villages avoisinant permettaient de s’y installer les jours de congés et les dimanches en famille sous une belle tente avec des chaises longues tout autour. Les hommes et souvent les femmes pêchait le poisson que la mer généreuse ne leur refusait pas, on le cuisinait sur place et on le dégustait sur de belles nappes dressées dans les tentes, au cours d’un repas improvisé.

En 1950, Fort de l’Eau avait acquis une physionomie nouvelle qui la rendait méconnaissable pour les descendants des premiers pionniers. Les anciennes maisons rurales avaient disparues, remplacées par de belles maisons de campagne, tandis que le Centre et le Front de mer s’enorgueillisaient de ses magnifiques villas, extériorisant ainsi sans complexe la richesse du pays.

 

- Démographie

  • Lors du recensement ordonné à la fin de 1856, la Rassauta chef-lieu de la commune, compte avec Fort-de-l'Eau, annexe formant section pourvue d'un adjoint particulier : 94 Français, 331 Etrangers, 103 Indigènes, soit une population de 498 habitants
  • En 1906, cinquante plus tard, la population a plus que quintuplé. Elle se compose :

258 Français d'origine, 9 Français nés de parents naturalisés par le décret de 1870, 148 Etrangers naturalisés par décret individuel, 656 Etrangers définitivement naturalisés français par la loi de 1889,, 289 Etrangers naturalisés français par la loi de 1889, sous condition suspensive, et 592 Mahonnais, 15 Italiens, 2 Maltais et 915 Sujets français (Arabes, Kabyles, Mozabites -Total général : 2844

 

 

 


 

Les 10 villes les plus proches : de Fort de L'Eau

Verte Rive    680 m
Le Lido    2.15 Km (MON VILLAGE)
Le Bateau Casse    2.99 Km
Bab Ezzouar    3.54 Km (MAISON CARREE)
Ben Mered    3.6 Km
El Hamiz    3.92 Km
Beaulieu    4.16 Km
Stamboul    4.17 Km
Dar el Beida    4.18 Km (MAISON BLANCHE)
Ben Zerga    5.55 Km

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Bordj_El_Kiffan


https://fr.geneawiki.com/index.php/Alg%C3%A9rie_-_Fort-de-l%27Eau


http://esmmaix.pagesperso-orange.fr/Photos-classes/photos-classes.htm

https://www.facebook.com/BordjelkiffanDz/?fref=ts

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Commentaires (24)

1. Vial Jennifer 11/07/2020

Bonjour à tous
Je suis à la recherche de renseignements sur une certaine Claude épouse vich ou de Juan vich... Je sais que ma grand-mère habitait fort de l'eau... Elle s'y est aussi mariée en août 1953... Si quelqu'un a le moindre renseignements ça serait avec plaisir

2. Nicole 14/02/2018

Bonjour
J allais souvent et j adorais aller dans la droguerie bazard de m et m Auret , nous allions acheter tous nos cadeaux de fêtes des mères , la boutique était très étroite et longue comme un couloir ( une vraie caverne d Ali baba)
Chaque fois que je vois de la glycine je pense à la tonnelle de glycine mauve de leur jardin... mon dernier achat des épis de blé en verre ..... 1961

3. MEDDAHI 19/03/2014

Bonsoir
je suis une native de Fort de l'eau, je tiens à vous précisez qu'il y'a un groupe sur facebook FORT DE l'EAU carte et histoires trés bien faits, géré par un monsieur , et moi mm j'ai un groupe, sauf que moi c'est plus groupe intime, qui parlé d'histoire
fort de l'eau, mais surtout le groupe Fort de l'eau Carte et histoires, vous trouverz votre bonheur.km

4. ejarque 28/06/2012

Je suis née à Fort de l'eau en 1959 Je cherche une personne ayant connue une certaine famille Guilhot tenant un garage a Tenes Cette famille était composée de trois enfants dont mes deux frères ainés Merci d'avance si quelqu'un peut m'amener un tout petit renseignement

5. El Hadj Messaoud 29/05/2012

Bonjour, est ce que le nom " el hadj messaoud" vous dise quelque choses, ou plutot , "la boucherie BOUAZZA", merci infiniment !

6. Picard Claude 27/05/2012

J'ai découvert par hasard votre site. J'ai habite 2 ans au Lido à Fort de lEau près de la caserne dans la villa Marie Antoinette en 1955 et 1956 près de l'épicerie de Monsieur Mogard.J'allais à l'école primaire à Fort de l'eau ....hélas je n'ai qu'une photo de classe...et mes souvenirs s'estompent....je garde cependant un souvenir merveilleux du Lido ou nous étions des les premiers beaux jours sur la plage...Claude

7. BARAFANE 03/05/2012

Quel bonheur!
Je retrouve un lien avec mon cher village que j'ai quitté, il y a de celà vingt trois ans!
Que dire sinon la nostalgie de l'école des soeurs que j'ai fréquentée assidûment, soeurs Marie-Thérèse, Bernadette qui m'ont sensibilisé au savoir et à la connaissance.Quelles soient vivement remerciées là où elles se retrouvent.Je souhaiterais rencontré des personnes dont le lien avec Fort de L'eau reste à jamais gravé dans leur esprit.
Cordialement
Karima

8. Tachtioui Amine (site web) 08/04/2012

je trouve pas mal votre blog je vous invite a partager vos souvenir sur le site des aquafortains vous trouver des cartes des documents et des gens de notre ville sur ,Facebook fort de l'eau carte et histoire , Amine

9. baumer 14/03/2012

bien apprecie votre site.

10. canu claude 31/12/2011

je retrouve mon enfance. J'habitais avenue des bains au 1er étage de la maison avec les petits chats sur le toit à côté de la Cheasa.Je suis allée à l'école des soeurs jusqu'en 1962. Soeur Bernadette et soeur Dominique ont été mes enseignantes.Je me souviens de Chantal Llaurens que j'aimais beaucoup, des gateaux de l'aïd de Fatima.merci pour ce site

11. ali 28/11/2011

je demande a nos amis de l'autre cote de la rive ,anciens habitant,amoureux de fort de l'eau, soyez la bienvenue a n-importe quel moment,on vous attend a bras ouvert,les otoctones sont acceuillants et genereux comme vous les avez connu ,seulement,il faut pas s'attendre de voir le fort de l'eau d'antan,parce que tout a etait metamorfose avec le temps,a cause de la suburbanisation.bon sejour a toutes et a tous.

12. zina 30/10/2011

allo,
jeune, trés souvent j'ai rêvé en écoutant les vagues sur la verte rive. le soir en revenant chez moi j'étais ébloui par les lumières des terrasses de café plein de monde (français), bcp de rire et de joie . moi je n'étais que la petite indigène qui a passé une journée dans sa famille les Bouteldji sur un côté de la verte rive ou il ya avait des rochers mais j'étais heureuse

13. athali 09/08/2011

je suis une aquafortine très interessant !!! je vous remercie .

14. ROSTOLL 18/03/2011

Tout d'abord bravo pour votre site il est super.
Je suis de Koléa et à la recherche d'une amie qui habitait Fort de l' Eau
elle s'appelait Francine Dagas si vous avez des renseignements je serais heureux !!!
merci et encore bravo !!!!

15. Bournot Lucienne (site web) 15/03/2011

[b]

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Bonjour Madame*
Par hazard suis tombée sur votre site et j'en suis enchantée , il est superbe * Je pense que vous êtes d'Algerie ! Moi aussi suis née a Boufarik ensuite plus-tard avons habité Alger a N D D'Afrique * Mes parents eux habitaien El Affroun ensuite La Chiffa * , Blida * Mon Dieu que je suis heureuse de voir votre site * Actuellement je suis dans le Maine et Loire depuis 47 ans mais je n'arrive toujours pas a me faire en France ! J'ai tout le temps notre Algerie en tête et dans mes rêves * Voilà * Recevez toutes mes plus sincères Amitiés Mme Bournot **

16. willy 18/01/2011

je suis a la recherche d un plan de Fort De L Eau
pour situer la rue Georges Fanner ,si quelqu un avait une photo ca serait bien,j ai passer 4ans
et suis aller a l ecole des soeurs,felicitations pour votre site que je decouvre.
cordialement

17. said (site web) 25/10/2010

hello salut !
je m`interesse bien a l`histoire de ce village qui porte le nom de bordj el kiffan , et que j`ai vu mainte a reprise dans des ecrits sublime comme celui de daniel piccouly que j`ai apprecie beaucoup et encore je dis merci pour ce site si charmant et interessat
un passant de l`autre rive qui aime fort de l`eau et s`accroche a bordj el kiffan

18. auret 11/10/2010

bonjour

Mon grand pere auret marcel avait un bazard en 1960 à fort de l'eau ,moi meme je suis alle à l'ecole dans cette ville idyllique
si quelqu'un se rapelle de mon grand-pére
ou a des photos de lui de son commerce ,il me ferait un plaisir fou de me renseigner
merci

votre site est une merveille

19. karima 08/08/2010

j'aimerai bien ce qui s'est passe a madame bouteldji karima apres avoir avorte du bebe qu'elle a eu avec son beau frere le frere du policier que personne n'ose parler vous avez le courage de parler sur les pauvres oui elle couchait avec son beau frere elle trompait son mari commeelle le faisait souvent karima la fille de m'hamed la justice est complice toute a ete voilee la presse le commissariat de fort de l'eau le tribunal d'elharrach la cour d'alger ils sont libres personne n'est en prison

20. FONTENEY 21/05/2010

JE SUIS A LA RECHERCHE D UNE PERSONNE SE PRENOMMANT FANER BLANCHE EPOUSE HENSELING QUI AURAIT HABITER A FORT DE L EAU OU ALGER DANS LES ANNEES 1928 PEUT ETRE L AVEZ VOUS CONNUE N HESITER PAS A ME CONTACTER D AVANCE MERCI

21. monique 08/05/2010

tout d'abord bravo pour votre site, et pour tous les renseignements sur Fort de l"Eau, ville où j'ai vécu... je suis née à Alger et ensuite direction FdeL
j'habitais un lotissement qui s'appelait les "tamaris" à côté de la caserne au Lido.
donc, je suis très heureuse de vous lire!!
je reviendrai sur votre site qui est vraiment excellent !!!
amicalement

22. zakari 27/03/2010

slt ma soeur ,voila qlq photo de fort de l'eau et aussi le site dns les photo des neveaux et ancien http://www.abcdelacpa.com/algerie_fort_de_leau.html , j'epere que te feras un peu de plaisir , j'ai deja envoiyer aussi de photo (des prof dns l'ecole)

23. carole 15/09/2009

bonjour
merci pour toutes ces informations. je suis une ancienne d'Ain Taya et j'y passe en ce moment mes vacances. Fort de l'eau est pour moi resté synonyme de vacances car j'allais au Retour de la chasse chez M et MMe rIera qui habitaient au 6. ils avaient gérés jusqu'en 1961 la ferme bertin a Ain Taya. Mme Riéra était couturiere et guerisseuse. Je les considerais comme mes grands parents.depuis plusieurs années je suis à la recherche de Mme riera et de son frere Michel. Peut etre les avez vous connus ? n'hésitez pas à me contacter pour tchatcher.
carole

24. Mohamed 01/05/2009

salut

Merci bcp pr ce site
je vous remercie

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